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Horror Wood

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Horror Wood
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22 novembre 2013

Le nombre maudit *11*

isez c'est trop trop trop bizzare...

1) New York City comporte 11 lettre
2) New york est l'état n°11 des USA.
3) Afghanistan comporte 11 lettres.
4) "The Pentagon" comporte 11 lettres.
5) Ramsin Yuseb comporte 11 lettres.
6) George W. Bush comporte 11 lettres.

Vous me direz, jusque-la de simples coîncidences ?
Alors continuons, et là ça devient vraiment bizarre...

7) Le premier vol a se planter contre les Twin Towers était le vol 11.
8) Le vol Nº11 comptait 92 passagers, ce qui donne en additionant 9+2=11.
9) Le 2ème vol Nº77, comptait 65 passagers soit 6+5=11.
10) La tragédie a eu lieu le 11 de Septembre, soit le 11/9 (1+1+9=11).
11) La date coincide avec le numéro des urgences 911 or 911=9+1+1=11.

Et maintenant encore plus bizarre...

12) Le nombre de victimes dans les 2 avions s'élève a 254 passagers. 254 : 2+5+4=11.
13) Le 11 Septembre, est le 254ème jour de l'année soit : 2+5+4=11.
.
14) Nostradamus (11 lettres) a prévu la destruction
de New-York dans son chapitre 11.

Et voici le plus inquiétant...

L'attentat de Madrid qui a tué 209 personnes (2+9=11) s'est produit
le 11.03.2004 = 1+1+3+2+4=11.
Enfin est-il utile de rajouter que les Twin Towers de par leur formes nous rapelle le chiffre 11 et que les trains de Madrid étaient programmé pour sauter à leur entrée en gare au moment ou ils se croisent (11 vu du dessus)

BIZARRE  COINCIDENCE NON!!

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21 novembre 2013

,Il faut toujours ouvrir la lumière!!

Janes vit dans une chambre avec sa colocataire Mélissa. Vers 9 heures, elle se rappelle que son livre emprunter à la bibliothèque doit être rapporter pour aujourd'hui et la bibliothèque ferme à 11 heures. Janes dit à Mélissa qu'elle doit sortir pour aller porter son livre a la bibliothèque et qu'elle sera sortie pour un moment. Elle invite Mélissa a se joindre à elle, mais celle-ci refuse prétextant qu'elle a des cours le lendemain matin. Mélissa demande à Janes de fermer la lumière en sortant car elle a sommeil. Janes sort de la chambre traverse le campus pour se rendre à la bibliothèque.

Une fois rendu elle se met a parler avec un de ses amis pendant quelques minutes pour réaliser qu'elle a oublié le livre à la chambre. Il est déjà 10 heures passées et elle promet à son ami de revenir rapidement. Quand elle arrive à la chambre, elle se rappelle que Mélissa est endormi.

Jane sait cependant exactement ou se trouve le livre, sur son bureau tous près du lit de Mélissa. Pour ne pas réveiller sa coloc, elle entre tranquillement, attrape son livre et quitte la chambre sans ouvrir la lumière. Elle retourne ensuite a la bibliothèque, rend le livre et ressort pour prendre une bouché avec le copain qu'elle avait laissé là quelques minutes plus tôt.

Quand elle retourne à sa chambre, elle y trouve une armée de policier et une ambulance. Un policier la saisiT et la conduit dans la chambre, Janes voit deux choses a ce moment qui seront gravé pour toujours dans sa mémoire : Le matelas de sa coloc, Mélissa, immaculé de sang et quelques chose d'écrit avec un rouge à lèvre dans le miroir de son bureau : "Es-tu contente de ne pas avoir ouvert la lumière ?"

21 novembre 2013

Armande , la psycopathe..

la psycopathe

Ce soir là ,les parents d'Aurélie et Marion on décidait d'aller au cinéma sans leurs filles.Ce qui ne gène pas les petites filles.

-Ils sont partit demanda Marion a sa grande soeur Aurélie

-Oui  ses bon

Elles se firent un bon plateau télé quand soudain un flash info débarqua sur le programme sur la télé un médecin en blouse blanche s'écria:

-C'est une catastrophe!!Armande c'est échapper fermer porte et fenêtre vite!!!

Soudain Aurélie se souvint ,Armande oui c'était une psycopathe emputé des 2 jambes complètement ivre de sang!

-Vite Marion refermont toutes les fenêtres .

Seulement les petite avez une trouille bleu  de la cave rien que l'escalier obscur br elles en avaient la frousse et la fenêtre était rester ouverte car la fenêtre était au ras du sol de dehors.Elle coururent a l'étage dans la chambre de la grande soeur.

-Marion mes toi sous le lit  je me mettrait dessus comme sa je mourrait au pire.

-boum boum shiiiit

-boum boum shiiit

-Au...Aurélie ta entendut ???

-boum boum shiiit

-boum boum shiiit

-ces rien ces rien, bonne nuit

-ou..ou..oui

 

Le lendemain Aurélie se reivella un coup d'oeil autour d'elle non personne.

-Marion réveille toi aller vite!!!!

-Marion

-Marion tes la??

Elle regarda sous le lit et vit sa petit soeur éventrer

avec marquer à côtes  avec le sang de marion

je sais remper!!!

 

21 novembre 2013

Derrière la porte....

Laissez-moi vous conter ce soir funèbre où ma vie a basculé, ce soir où j’ai bien cru que j’allais mourir, ce soir où j’ai perdu la raison : c’était un soir de printemps, j’avais alors 14 ans.
     A cette époque, ma grand-mère maternelle n’allait pas bien du tout. Elle était à l’hôpital depuis déjà deux ou trois semaines, j’étais allé la voir quelques fois avec mes parents, mais elle ne me paraissait pas vraiment bien aller, et je ne pouvais m’empêcher de me dire qu’elle ne rentrerait plus chez elle. Et puis aussi ce jour-là il avait fait beau, et je me sentais bien, ainsi, lorsque mes parents m’ont proposé d’aller la voir, avec eux, en cette fin d’après-midi, j’ai refusé. Mon père a alors suggéré d’aller au restaurant pour se détendre après la visite à l’hôpital, l’idée tentait ma mère, mais moi je voulais rester à la maison. Alors sans attendre je leur ai dit que je pouvais bien passer la soirée tout seul. Ils m’ont alors proposé d’inviter des copains si je le voulais, et je ne me suis pas fait prier pour accepter ! C’est ainsi que je me suis retrouvé ce soir-là avec Arnaud et David : deux amis avec qui je passais la majeure partie de mon temps depuis le début du collège.
     Nous nous trouvions dans ma chambre à écouter de la musique. Sans explications, Arnaud baissa le volume. David et moi le regardions, intrigués, puis finalement d’un air amusé il nous demanda :
     - Dites, ça ne vous dirait pas qu’on se raconte quelques histoires qui font peur, hein ? Ca pourrait être sympa, non ?
     J’hésitais quelques peu, surpris par cette proposition. Finalement David accepta, et je le suivis. Alors Arnaud tout en coupant la musique, nous demanda :
     - Alors ! qui commence ?
     Tout d’abord, aucun de nous ne répondit. Moi j’avais bien une idée d’histoire, mais je n’osais pas trop la raconter... Et mon dieu ! J’aurais vraiment bien fait de me taire ce soir-là, mais je ne l’ai pas fait : En effet, timidement je finis par répondre :
     - Heu… moi… à la limite... j’en ai bien une.
     - Ah ?
     - Ouais mais heu… je sais pas si elle va bien rendre… je…
     - Bah allez, te fait pas prier, vas-y !
     Et je l’ai fait, malheureusement, je l’ai fait : Je me suis assis en tailleur sur le lit, et pendant que d’un air grave je fixais alternativement Arnaud et David, ils se sont assis autour de moi, au bord du matelas. J’ai laissé passer quelques secondes afin de rendre l’atmosphère encore un peu plus lourde, puis j’ai entamé mon récit :
     « C’est une histoire assez terrible dont j’ai entendu parler une fois. Cela se passait il y a quelques années : Un père de famille rentrait chez lui après le travail, il trouva sa maison en train de brûler. Il habitait à la campagne, et il n’y avait pas de voisins pour alerter les pompiers. Il pensa tout de suite à son fils de sept ans qui était peut-être dans la maison, il se précipita alors à l’intérieur, cria pour l’appeler, et… il eut une réponse ! Son fils était bloqué dans sa chambre, le père couru jusqu’à la porte, essaya de l’ouvrir, mais elle restait bloquée : Dans la chambre, une poutre tombée du plafond l’empêchait de s’ouvrir. Il cogna, et cogna encore de toutes ses forces contre la porte, il se ruait contre elle, son fils hurlait, il appelait à l’aide, et lui, il paniquait : la porte ne s’ouvrait pas. Il se rua encore contre elle, il hurlait de rage, pleurait de désespoir, il ne réfléchissait plus, il n’y avait plus que cette porte, et son fils qui hurlait de l’autre côté. Il a appelé à l’aide jusqu’à la fin : Son fils à brûlé dans la maison, et le père aussi. Il n’a jamais réussi à ouvrir la porte, et il est resté à se ruer contre elle jusqu’à sa mort. »
     Arnaud me regarda l’air dégoûté, et me dit :
     - Ben dit donc, c’est glauque !
     - C’est pas joyeux en effet, répondit David avant que je ne réagisse. Il avait aussi l’air assez choqué par l’histoire. 
     C’est alors que, emporté par ce succès, j’ai raconté la suite. J’ai été stupide, elle me faisait aussi peur qu’à eux cette histoire, surtout la suite… et j’ai vraiment été idiot d’avoir continué, je n’aurais jamais dû, jamais.
     «  Oui, mais vous ne connaissez pas la suite... Parce que depuis lors, le fantôme du père cherche toujours à ouvrir la porte et à sauver son fils. Et si tu dis… heu… je ne préfère pas le dire vraiment... Mais en gros si tu appeles à l’aide en criant « papa », que tu dis que tout brûle, et que tu lui demandes de venir te chercher, cela attire le fantôme, et il arrive derrière ta porte pour te prendre »
     David, pensif, me regarda l’air intrigué, et calmement me dit :
     - Purée ça fout les boules, c’est sûr... Mais bon toi, tu as déjà essayé de l’appeler ?
     - Non... ça me fait assez peur comme ça ! Je n’ai pas envie d’aller vérifier. »
     Arnaud, une lueur d’excitation dans le regard, observa David, puis moi, et finalement nous demanda :
     - Hé ! ça vous dirait d’essayer ?
     Je me crispai, comprenant que je n’avais pas du tout envie d’essayer une chose pareille, je regrettai déjà d’en avoir parlé. Mais David, lui, semblait y réfléchir, et au bout de quelques secondes il finit par lever la tête et dire « ouais ! Pourquoi pas ! ».
     J’allais leur dire que je ne souhaitais pas du tout faire une telle chose, mais Arnaud n’attendit pas que je manifeste mon opinion : Sans me porter le moindre regard, il commença à parler d’une voix aiguë et chevrotante, cherchant à imiter celle d’un petit garçon :
     - Papa ! ppaaappppaa, à l’aaaaiiiiiide, tooouuut brrrûûûûle autour de moi, j’ai peeeeeuuurrr !
     Il souriait, mais moi pas du tout : j’étais vraiment terrifié. Mais lui il souriait, et David le regardait avec amusement, sans rien dire. Et il reprit encore de plus belle, sa voix était maintenant plus forte, il criait presque :
     - JJEEEEEE BRRRRRUUUUUUULLLE, PPPPAAAAPPPPPAAAAAA, JEEEE BRRRUUUULLLLEEE, AAAAAAAAHHHHHHHH !
     - ARRETE MAINTENANT ARNAUD ! C’EST PAS DROLE.
     C’était sorti comme ça, je le fusillais du regard, je me sentais énervé, mais j’étais surtout terrorisé, j’avais vraiment peur, et je ne voulais pas en entendre plus.
     - Ben... quoi ? T’as peur ? Oh, allez c’est pas grand-chose, non ? C’est une histoire ! c’est tout ! Allez... 
     Et toujours ce stupide sourire aux lèvres il reprit :
     - PAAAAAPPAAAAAA JEEEE T’EEEEENNN SSSUUUUPPPPLLLLLIIEEE, PAPAAAAAA, IL Y A LE FFEEEUU PAAARRRRTTT...
     - TU ! ... ARRETES ! ... MAINTENANT ! ... COMPRIS ? »
     Là il s’était tu, il n’y avait plus un bruit dans la chambre, Arnaud me regardait, l’air étonné, sûrement qu’il avait été surpris par l’agressivité et la colère que je venais de déployer pour lui crier de s’arrêter : J’en étais d’ailleurs essoufflé, et je le fixais du regard le plus réprobateur et colérique que je pouvais.
     On ne parlait plus, Arnaud et moi restions là, immobiles, à se fixer mutuellement. Finalement, David, tout timidement, finit par dire :
     - Bon, allez les gars, on ne va pas se disputer pour ça, hein les...
 
« BOUM ! ... BOUM ! ... BOUM ! ... »
 
     Nous avons sursauté tous les trois, une décharge d’adrénaline m’a envahi. Je me suis braqué ainsi que mes deux amis vers la source du bruit : vers la porte de ma chambre. Le bruit continuait, impassible et terrifiant :
 
« ... BOUM ! ... BOUM ! ... BOUM ! ... »
 
     - C’est quoi ce boucan ! s’écria Arnaud dont la voix couvrait à peine le bruit de coups de plus en plus fort qui provenait de la porte.
     - Si c’est une blague, c’est vraiment pas drôle, rétorqua David qui se tenait maintenant debout, plaqué contre le mur opposé à la porte. Il semblait mort de peur, il fallait dire que moi aussi je l’étais.
     Et puis là, en prime des coups contre la porte, ont commencé les cris, ces horribles cris qui malheureusement resteront je crois bien à jamais gravés dans ma mémoire. Je peux les entendre encore aujourd’hui alors que je vous parle : Cela ressemblait à un monstrueux mélange entre le brame d’un cerf et le cri d’un éléphant, même si cette description ne me semble pas si proche de la réalité, je ne trouve pas trop de comparatifs pour l’exprimer. Ce cri était en tout cas inhumain, aigu et profond, d’une tristesse infinie et d’une agressivité sans nom... Et les coups contre la porte, et ce cri horrible, continuaient, sans relâche… sans la moindre trêve. J’étais terrorisé, je m’étais rabattu vers les oreillers du lit, et je les serrais d’ailleurs très fort. Arnaud lui, plus valeureux, même s’il n’avait pas l’air très fier, avait saisi ma chaise de bureau, et la brandissait, prêt à frapper ce qui pourrait entrer dans la chambre.
     Mais ce fut David qui paniqua le plus, les cris immondes avaient dû finir de ronger les dernières subsistances du courage qui l’empêchait de s’écrouler : Il était maintenant assis contre le mur, recroquevillé sur lui-même, son visage était tout rouge, il pleurait, il gémissait, mais entre ses larmes il finit par parler un peu :
     - ooohhhhh noooonnn, c’est quoi ce truc, j’ai peeeuuur, à l’aide, à l’aaaiiiide.
     Immédiatement, comme pour répondre aux geignements de David, le cri se fit encore plus fort, encore plus déchirant, encore plus terrifiant. Cette fois-ci les coups redoublèrent contre la porte, elle était parcourue de soubresaut, mais bizarrement ou plutôt monstrueusement, elle restait fermée, et ne se brisait pas.
     Puis la panique finit d’envahir David, il se leva, ouvrit la fenêtre, et tout en pleurant nous dit :
     - J’veux pas rester là moi, j’préfère tenter ma chance par dehors.
     - Non, fais pas...
     Mais j’eus à peine le temps de réagir, qu’il était déjà en train de se laisser glisser par l’encadrement de la fenêtre. Et le temps de me lever du lit pour aller le retenir, je l’entendais déjà glisser sur les ardoises du toit… puis, je ne l’entendis plus. Son silence m’a semblé durer très longtemps, et ce fut son cri, déchirant, qui me renvoya à la réalité :
     « AAAAAHHHH, J’AI MMAAAAALLL ! JE SUIS TTTTOOOOMMMBBEEEEE ! MMMOOONNNN DDDDOOOOSSSS, AAAAAHHHH J’AI MMAAAAAALLLL ! »
     Et là l’horreur fut totale : A travers l’encadrement de la fenêtre, je regardais David, qui hurlait, gisant sur la terrasse du jardin, en bas. Et les cris émis par ce qui était derrière la porte devinrent complètement fous et assourdissants. Les coups portés devenaient plus fréquents, à un rythme monstrueux, insoutenable : Je devenais fou, tout cela était un cauchemar implacable, terrifiant, et les cris de David qui agonisait en bas ne faisaient qu’ajouter à l’horreur de la situation. Surtout que ni Arnaud ni moi ne pouvions sortir de la chambre pour lui venir en aide.
     Et l’odeur ! Je ne m’en étais pas rendu compte au début, mais maintenant l’air de la chambre en devenait suffocant tellement la puanteur était atroce. Une odeur de viande pourrie, mêlée à celle de cochon brûlé : et mon dieu c’était insoutenable, abominable. Je me suis détourné de la fenêtre : je vis Arnaud qui restait immobile, debout, sa chaise dans les mains, les yeux écarquillés, il avait l’air ailleurs. Je me demandais comment il faisait pour rester en plein milieu de la pièce, alors qu’elle baignait dans cette puanteur. C’est alors que sans bouger plus que la main, il finit par lâcher sa chaise, puis un soubresaut le parcouru, il se courba en deux, et vomis abondement sur la moquette. La vision que j’avais devant moi d’Arnaud vomissant, le son que cela produisit, ainsi que l’odeur qui se mêlait à celle immonde de viande pourrie et brûlée, en était trop pour moi aussi, et je vomis à mon tour.
     Je me sentais fatigué, je m’appuyai dos au mur, David continuait d’hurler au dehors, et les coups sur la porte n’arrêtaient plus, ils avaient encore redoublé. J’eus alors l’idée que les cris de David au dehors pouvaient stimuler la source de tout cela, et sans réfléchir d’avantage, je me retournai vers la fenêtre et la refermai avec empressement. J’eus du mal à expliquer à Arnaud pourquoi j’avais fermé la fenêtre, pourquoi on allait pas aider David. Mais il fallait arrêter de faire du bruit, des geignements, des plaintes qui pouvaient attirer ce qu’il y avait derrière la porte. Il fallait attendre qu’il s’en aille, avant de descendre au rez-de-chaussée appeler quelqu’un au téléphone pour venir en aide à David. Arnaud finit par comprendre, et nous nous sommes calmement assis, terrifiés malgré tout par cette ambiance cataclysmique de coups ininterrompus contre la porte, par ce cri immonde qui nous perçait les tympans, et par cette odeur insoutenable qui se mélangeait maintenant à l’odeur de nos vomissures.
     Et nous avons attendu que tout cela s’arrête, nous étions assis en tailleur, à même le sol, sans bouger, pales et terrifiés. Progressivement les cris se sont calmés, l’odeur s’est atténuée, et les coups contre la porte ont baissé en fréquence et en intensité… jusqu’à ce que le silence revienne enfin, et que nous pouvions de nouveau entendre, étouffés à travers la fenêtre fermée, les cris de douleur de David qui gisait toujours au dehors.
     Arnaud me regarda alors, et à voix basse me demanda :
     - A ton avis maintenant, qu’est ce qu’on fait ?
     Je réfléchis un peu avant de répondre, puis dit :
     - Il faudrait téléphoner aux pompiers, ou je sais pas… à une ambulance ! Pour venir en aide à David.
     - Il est où le téleph...
     - Le téléphone est en bas.
     - Tu penses que c’est parti ?
     - Ben… on ne l’entend plus...
     - C’est vrai...
     - Va falloir descendre… en bas... Heu… j’ai pas trop envie… de… de… sortir. Je…
     - Bon, je vais y aller... De toute façon, il est plus là, hein ?
     - Heu… t’es sûr ?
     - Mais oui.
     Arnaud se leva alors lentement. D’un pas hésitant, il s’avança jusqu’à la porte. Saisis doucement la poignée, et poussa légèrement la porte qui s’entrebâilla sur le couloir. L’air amusé il se retourna vers moi, et dit à haute voix:
     - C’est dingue, la porte était ouverte, il est con ce fan...
     Mais il n’eut pas le temps de finir sa phrase que comme un éclair, une main surgit de l’encadrement de la porte entrebâillée, se rallongea d’une manière monstrueuse et vint agripper Arnaud à la taille : Celui-ci restait pétrifié, sans même crier, les yeux écarquillés. A première vue, la main, et le bras m’avaient semblé de couleur noire, mais à cause des petites brillances, de ces sortes d’écailles que je discernais dessus, j’eus l’horreur de deviner que toute la peau de ce « bras » qui s’enroulait maintenant autour de la taille d’Arnaud était entièrement brûlée. D’ailleurs l’odeur de porc brûlé et de viande pourrie revint m’assaillir les narines.
     Je n’eus que le temps de me lever avant de voir Arnaud disparaître sous mes yeux, emporté dans le couloir à une vitesse impossible, puis la porte se referma dans un claquement assourdissant. Je courus jusqu’à la porte, mais je ne voulus pas y toucher, je ne voulais pas l’ouvrir. Je criai alors le nom d’Arnaud, j’ai bien dû rester là pendant une éternité à crier son nom, mais rien, aucune réponse.
     Et je n’avais pas osé ouvrir la porte : j’avais peur que cela soit encore derrière. Toujours comme aujourd’hui d’ailleurs : En effet, même maintenant j’ai encore la peur d’ouvrir une porte, mes parents m’ont amené chez le psychiatre après ce soir-là, mais je ne lui ai jamais rien dit, ni à personne d’ailleurs, pas même à mes parents. De toute façon, ils ne me croiraient pas.
     Personne ne revit jamais Arnaud, on m’a demandé si je l’avais vu ce soir-là, mais j’ai dit que non, et David en fit de même... : Lui, il passa un mois à l’hôpital, il s’était cassé le coccyx en tombant du toit... Et aussi bien lui que moi sommes maintenant toujours terrifiés quand nous nous retrouvons face à une porte fermée : Nous avons toujours peur qu’un jour cela vienne nous chercher à notre tour, nous n’osons plus ouvrir la moindre porte de peur qu’il soit de l’autre côté. Oui, nous avons et aurons maintenant toujours peur de ce qu’il peut y avoir... y avoir derrière la porte.

21 novembre 2013

Un témoignage terrifiant!

Encore un témoignage qui fai froid dans le dos...:

 

" Bonjour ! Ceci est un témoignage véridique, je l'ai vécu durant 8 mois

dans une maison hantée.

Mon ami à l'époque était cadre commercial, nous étions appelés à déménager souvent, son travail nous avait amené à trouver un logement sur CHATELLERAULT ( 86 ).

Nous avions trouvé un gite rural, une vieille ferme datant de 1775, date marquée sur une grosse pierre noire de la cheminée qui se trouve à l'intérieur de la maison.

Le premier soir de notre arrivée, donc la première nuit, à 22 h 25, j'entendis

des coups dans les murs, des petits coups sourds à intervalles réguliers,

je demanda à mon ami : " tu entends ?", et il me dit : "oui, c'est rien cela

vient d'un château d'eau qui se trouve derrière la maison à environ 1Km ".

 

Mon fils de 4 ans, à cette époque, se trouvait dans une chambre à côté,

il se mît à pleurer, je lui demandai pourquoi, et il me répondit : " J'ai vu un

monsieur rentrer dans la prise de courant, c'était tout bleu." Je le rassura,

et il se rendormit.

Ensuite, nous commençions à sommeiller quand tout à coup un bruit effroyable se produisit, on aurait dit que tout le placard de la vaisselle était tombée ! Je me relèva, je retourna voir... J'ouvri la porte du buffet de cuisine (ces anciens buffets très hauts)... rien ! Tout était en place. Mon ami, lui, ayant aussi entendu ce bruit, sortit dehors.... rien non plus.

Nous sommes donc repartis pour aller dormir, ce qui ne fut pas facile, car

les lumières ont commencées à s'allumer toutes seules, c'est moi qui allait

les éteindre, ensuite c'étaient les portes que l'on fermait et qui se rouvraient

toutes seules, les décorations des murs qui tombaient toutes seules, la télé

qui fonctionnait s'éteignait comme si quelqu'un avait appuyé sur le bouton

pour l'éteindre, alors que dans la pièce, j'étais seule à faire la vaisselle.

Les fenêtres aussi s'ouvraient toutes seules en grand !

Pleins de phénomènes bizarres dans cette maison !!!

Ensuite, nous avons eu droit à une odeur nauséabonde ( d'oeuf pourri ) sur plusieurs jours, obligés d'appeler le propriétaire qui ne savait pas d'où cela pouvait provenir.Nous avons eu aussi des coups dans les fenêtres, comme

pour nous réveiller, la radio était sans arrêt brouillée, nous ne pouvions pas

parler dans le téléphone, nos correspondants ne nous entendaient pas, alors

que nous les entendions très bien, même en criant dans le combiné ils ne nous

entendaient pas.

 

Un jour, alors qu'il était 16 h 00 de l'après midi et que nous tentions de regarder la télé, nous avons été surpris de voir une forme blanche, on aurait dit une femme,un genre de voile de brouillard, passer dans le jardin, bien devant la maison.

Un autre phénomène se produisit à mon fil de 4 ans, un jour alors qu'il était en

train de jouer aux petites voitures par terre dans sa chambre sur une épaisse

moquette, il est venu me chercher par la main pour me dire que GARGAMELLE

(pour lui c'était le méchant monsieur des Schtroumfs) était dans la salle de bain,

il avait vu rentrer dans le mur de la salle de bain un grand monsieur noir avec des

grands pieds et il ne l'a jamais oublié !

Il ne faut pas trop lui parler de cette histoire qui est encore bien présente dans son esprit !

Nous avons donc décidé de partir ailleurs car je n'en pouvais plus, nous étions réveillés par des coups de poings dans les pieds !!! Tout ceci est vrai, je ne sais pas trop bien le raconter mais tout ceci n'est pas imaginaire,malheureusement ! Nous avons prévenu les propriétaires qui sont venus voir et qui ont dormi dans la maison et ils ont bien constaté aussi ces bruits bizarres. Nous sommes allés chez certains voisins qui eux aussi avaient subi des phénomènes bien pires que cela !

 

Cette maison se trouve à 25 kms de Châtellerault dans la Vienne, dans le petit pays d' ORCHES, dans le département 86. Bon courage à celui qui veut y aller !

Il s'est passé tellement de choses dans cette maison que j'ai peut-être oublié

certains phénomènes comme le froid qui y règnait. Nos chiens qui aboyaient

sans arrêt chaque nuit, ect....

VOILA, je suis très heureuse d'avoir quitté cette maison !

Faites attention si un jour vous achetez une vielle demeure ! " 

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21 novembre 2013

il faut toujours regardé la banquette arrière!!

C'était une nuit sombre et brumeuse. Denise avait de la difficulté à rester éveillé et la route était trempé. Son niveau d'anxiété n'était pas pour aider car le niveau de la jauge d'essence commençait à être dangereusement bas et elle n'avait aucune idée d'où se trouvait la prochaine ville.

Finalement juste au moment ou elle allait arrêter la voiture pour la nuit et dormir sur le bord de la route, elle aperçut une petite station d'essence décrépie sur le bord de la route. Elle s'arrête à la station. Le commis fait le tour de la voiture et semble être très distrait pendant qu'elle lui demande de faire le plein, il continue à lui faire de drôle de grimaces et semble très bizarre. Il s'exécute enfin, mais lui demande d'ouvrir le capot, parce qu'il flaire quelques choses de suspect. Son anxiété recommence à grimper car elle se rend compte qu'elle est seule dans une petite station service crasseuse au milieu de nul part et que le commis trouve toutes sorte de bonne raison pour la garder ici...
Il lui demande de venir voir le moteur, il veut lui montrer quelques choses. Ne sachant pas trop quoi faire d'autre, elle fait ce qu'il lui dit, tout en se demandant pourquoi elle ne se met pas à crier. Aussitôt arrivée devant la voiture, il lui attrape le bras et lui dit :" Cette voiture a besoin d'une remorqueuse, vous devez venir avec moi dans le bureau !" Puis il lui met la main sur la bouche et l'entraîne de force a l'intérieur du bureau.

Elle commence à lui mordre la main. Une fois à l'intérieur, il la laisse partir et lui dit : "Il y a un homme couché sur le siège arrière de votre voiture !!!"
Mais la femme apeurée par en courant vers sa voiture et s'en vas a toute vitesse. Au bout de quelques minutes, regardent dans son rétroviseur, elle vit un homme avec un blouson à capuche et une hache dans la main sur la banquette arrière.

Et l'homme d'un mouvement de bras décapita Denise avec sa hache. Le cadavre de Denise fut retrouvé peut de jour après. La police arrêta le tueur en série des années plus tard.

Alors as - tu regardé sur la banquette arrière ?...

 

21 novembre 2013

Le boucher...de chair!

En 1946, dans Berlin en ruine, 
une jeune femme rencontre un aveugle errant et tâtonnant 
qui lui demande de bien vouloir porter une lettre à une adresse.
Charitablement, elle accepte et prend le chemin de l'adresse indiquée;
mais en se retournant, elle aperçoit l'aveugle qui s'enfuit 
en courant, sans aucune hésitation, et qui disparaît au coin de la rue.
Trouvant ce comportement suspect, la jeune femme va raconter 
son histoire à la police.
Peu après,les policier découvrent à l'adresse indiquée deux hommes et une femme ainsi qu'une grande quantité de viande, ce qui valait de l'or à cette époque. 
Avec horreur les policiers s'aperçurent qu'il s'agissait de chair humaine. Et le texte de la lettre que la jeune femme devait remettre était le suivant:"
Ceci est la dernière livraison pour aujourd'hui."

21 novembre 2013

LA MAISON DU DIABLE!

la maison

En 1974 (le 13 novembre exactement), un jeune homme de 24 ans, Ronald DeFeo, assassine de sang froid à 3h15 du matin, les 6 membres de sa famille pendant leur sommeil. 
Ainsi commence l'histoire d'Amityville, la Maison du Diable. 

Amityville est une petite ville des USA, à Long Island dans l'état de New York, d'apparence plutôt tranquille, jusqu'à cette nuit de novembre 1974, où au 112 Océan Avenue, DeFeo assassine toute sa famille à l'aide d'un fusil de calibre 35. 
Durant l'audience préliminaire qui eu lieu le 22 septembre 1975, Ronald DeFeo déclara "n'avoir pas pu contrôler une pulsion commandée par une entité" qu'il appela le Diable, lui même. Il plaida la folie et fut condamné à six peines consécutives d'emprisonnement de vingt-cinq ans à la prison spéciale de Danemorra U.S.A. 

La maison fut alors mise en vente et un couple, Georges et Kathleen Lutz, ainsi que leurs trois enfants, y emménagèrent peu de temps plus tard. 
Ayant été informé de la tragédie, la famille fit appel à un exorciste, le père Mancuso. Mais à peine celui-ci eut-il franchit la porte d'entrée qu'il entendit une voix masculine et parfaitement claire lui intimer l'ordre de partir. Comprenant que cette entité était beaucoup trop forte pour que quiconque puisse la chasser, il quitta la maison en laissant les Lutz à leur propre sort. 

Commença alors pour la famille un séjour de cauchemard. 

Dès les deux premières nuits, ils entendirent des sons étranges, mais le plus troublant est l'heure à laquelle ils les ont entendu, 3h15 précise, heure du massacre de la famille DeFeo. 
Mais le cauchemard ne fait que commencer. Suite à ces deux nuits de terreur, Georges vérifia que toutes les portes et fenêtres soient solidement fermées. Il fit même installer une barre de fer pour consolider la porte d'entrée. 
Hélas, dans la nuit, les bruits reprirent de plus belle, toujours plus étranges et angoissants. Lutz se leva et fut surpris de voir la porte d'entrée grande ouverte, et plus horrible, celle-ci avait été crocheté de l'intérieur. Quant à la barre de fer, elle gisait complètement tordue à côté de la porte. 

Cependant, malgré toutes ces péripéties, les Lutz décidèrent de tenir bon et de rester. C'est alors que quelques temps plus tard, toujours en pleine nuit, en se réveillant, Lutz eu l'effroyable surprise de voir sa femme en train de léviter au dessus du lit avec un visage crispé d'horreur, dont elle ne se séparera que 6 heures plus tard. 

Après cette lévitation, tout s'arrèta brutalement. Il n'y eu plus ni bruits, ni phénomènes paranormaux. Mais ce n'est pas terminé... en effet, quelques jours plus tard, alors que Kathleen était à la fenêtre, elle aperçu deux yeux rouge sang qui la fixaient. 
La maison se déchaîna alors de plus belle, bruits et cris de plus en plus fort, boue verte qui dégoulinait des murs et du plafond, serrure pleine d'une étrange substance noirâtre. Prise de panique, la famille s'enfuit. 

Les Lutz n'auront habité la maison que 28 jours avant de la fuir effrayé par tant de phénomènes paranormaux. 
De nos jours, la maison est habitée par de nouveaux occupants qui ne cessent de répéter que depuis leur installation rien d'étrange ne s'est produit.

21 novembre 2013

L Auto-stoppeuse

 

Une apparition qui sauve des vies!

 

Il est 2 heures du matin, 4 jeunes gens, 2 garçons et 2 filles, rentrent en voiture d'une soirée.

 

Sur le chemin du retour,ils prennent en stop une vieille dame. Elle se place entre les 2 filles à l'arrière du véhicule.

Alors qu'ils venaient de quitter l'autoroute, l’auto-stoppeuse hurla: "Attention au virage."

Le conducteur freina brusquement et se retourna en entendant les 2 filles criées à l'arrière.

La vieille dame s'était volatilisée; à sa place il ne restait plus qu'une carte d'identité dont la photo correspondait à l'auto-stoppeuse.

Ils s'empressèrent alors de raconter leur aventure à la police.

A l'aide de la carte d'identité, ils apprirent qu'elle était morte depuis 15 ans d'un accident de voiture aux alentours de l'endroit où ils la prirent en stop.

 

 

 

Auto-Stoppeuse

Une dame toute apprêtée de blanc apparaît quelquefois au col du Lautaret, mais uniquement lorsque les conditions météorologiques sont mauvaises. Elle fait du stop le long d'une route à peu près vidée de sa circulation habituelle. C'est le revenant d'une jeune femme décédée là dans un accident de voiture en 1980. Si on la prend à son bord, elle a la réputation de protéger la voiture et ses occupants. En revanche, si on refuse de la prendre, tout peut arriver disent les habitués de ce passage difficile

21 novembre 2013

La légende de *Bloody Mary*

la vierge sanglante(explication)

La légende de Bloody Mary (la Vierge sanglante) veut que lorsqu'on est dans une pièce sombre, devant un miroir éclairé à la chandelle et que l'on prononce "Bloody Mary" treize fois de suite, un visage de femme ensanglantée fait son apparition dans le miroir pour parfois s'attaquer à ceux qui l'ont appelé.

Plusieurs façons différentes d'invoquer cette mystérieuse femme semblent d'ailleurs exister. La façon la plus populaire reste quand même la suivante. S'enfermer dans une salle de bain munie d'un grand miroir, y éteindre les lumières pour s'y retrouver dans la noirceur complète et allumer deux bougies que l'on placera de chaque côté du miroir. Fixer le miroir très attentivement, droit dans les yeux de votre propre réflexion. Débutez ensuite à prononcer à voix très basse et très douce, voire presqu'invitante, le nom de "Bloody Mary" puis commencez à tourner sur vous même. Tout en continuant de tourner, prononcer le nom de l'esprit de plus en plus fort, presque comme dans un chant, pour que vers la treizième fois, vous l'imploriez, presqu'en criant. À chaque tours sur vous même, fixer le miroir en passant. Au treizième tours, votre réflexion sera maintenant celle de la Vierge sanglante.

À ce qu'on dit, elle est vraiment effrayante, son visage recouvert de sang et ses mains devant elle qui cherchent à vous prendre. Pour quelques croyants, cette femme ne veut que vous effrayer en bondissant de l'avant, vers vous. D'autres affirment que la Vierge sanglante vous attaque littéralement, vous laissant vous aussi en sang si vous ne vous échappez pas à temps.

Cette légende a tellement été prise au sérieux qu'en 1978, aux États-Unis, la folkloriste Janet Langlois décida d'écrire un essai sur cette histoire. On l'utilise encore dans certains cours universitaires sur les légendes urbaines en Amérique. Le film CANDYMAN est d'ailleurs basé sur cet essai.

Une autre croyance, adapté pour les plus braves, est celle de provoquer l'apparition de Bloody Mary en ajoutant à son nom la phrase suivante: "Bloody Mary, I killed your baby!" (Vierge sanglante, j'ai tué ton enfant). Cependant, on raconte qu'une telle invocation provoque une attaque de l'entité. Une attaque sauvage et sans merci.

Plusieurs pensent que Bloody Mary est la Vierge Marie en personne venue vous avertir de ne pas jouer avec son nom, ni le nom de son Fils, Jésus. D'autres racontent qu'elle serait une sorcière jadis brûlée vif par les habitants de son village pour sorcellerie et que quiconque invoque son nom sera frappé par la malédiction dont elle menaça ceux qui l'ont brûlée. Une minorité disent que c'est l'esprit d'une femme décédée avec son fils dans un accident d'auto quand la voiture s'enflamma, laissant sans vie la mère et le petit. La dame décida de vivre à jamais dans les miroirs, pour se venger de ceux qui ont tué son enfant. Tant d'histoires, laquelle croire?

Alors, serez-vous assez brave pour tenter l'expérience?

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